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Invitation au vernissage : « Les Roms. Luttons contre les idées reçues »

Le Collectif National Droits de l’Homme Romeurope regroupe plusieurs associations à caractère sanitaire, social, de défense des droits et des collectifs locaux. Ils œuvrent en faveur des populations migrantes majoritairement originaires d’Europe de l’Est présentes en France en situation de grande précarité et pouvant vivre sur des bidonvilles, dans des squats ou d’autres lieux de survie.

Le CNDH Romeurope s’attache à défendre l’effectivité des droits depuis sa création. Son action s’articule également autour de la lutte contre toute forme de racisme, les discriminations et la stigmatisation en raison de la nationalité, l’origine ou l’appartenance ethnique réelle ou supposée. Cette exposition s’inscrit dans cet objectif de déconstruction des stéréotypes envers les Roms et vise de manière ludique et pédagogique – avec l’appui de dessins et de textes – à renverser les préjugés très prégnants dans la société française.

Pour ce faire, neuf panneaux ont été réalisés à partir de la brochure publiée en 2013 « Ceux qu’on appelle les Roms, luttons contre les idées reçues ». Sur le même principe que la brochure – 6 thématiques sont traitées – la santé – le séjour – le travail – l’éducation – la délinquance – l’habitat. Chaque panneau annonce une idée reçue qu’il renverse par la suite.
Trois panneaux à visée plus pédagogique expliquent « De qui parle-t-on ? », les mécanismes de stigmatisation et discrimination, et comment agir.

L’exposition sera diffusée sur les réseaux sociaux et disponible et téléchargeable sur le site internet du CNDH Romeurope à partir 15 octobre.
Pour toute information pour un prêt merci de vous adresser à contact@romeurope.org

ÉTRANGERS… Projections-débat avec Marcel TRILLAT

9 OCTOBRE 2015 à 19h
DES ÉTRANGERS DANS LA VILLE – 2012

en présence de Marcel Trillat, réalisateur,
et Odile Ghermani, responsable du groupe « Étrangers, immigrés » de la LDH

43 ans après le film Étranges étrangers, Marcel Trillat reprend la caméra et retourne à la rencontre des étranges, étrangers d’aujourd’hui. Avec la volonté de poser une simple question : Ces Étrangers dans la ville, toujours aussi indispensables, sont-ils accueillis plus dignement par la société française en plein XXIe siècle ? Ils sont venus de tous les horizons de la planète en prenant tous les risques. Ils n’ont qu’un objectif : obtenir à tout prix la carte de séjour.
Ce film montre quelques-uns et quelques-unes de ces rescapé(e)s de toutes les misères du monde dans tous les lieux où leur espoir d’une vie meilleure est mis à la rude épreuve des réglementations administratives. Demandeurs d’asile tentant de convaincre des fonctionnaires parfois incrédules, parfois bienveillants mais eux-mêmes toujours corsetés par les règles très strictes qui leur sont imposées, travailleurs sans papiers mais payant leurs impôts, innocents privés de liberté dans les centres de rétention et policiers chargés de veiller sur eux, tous sont pris au piège de logiques que personne ne semble plus comprendre.

14 OCTOBRE 2015 à 19h
ÉTRANGES ÉTRANGERS – 1969
en présence du réalisateur

La nuit de la Saint-Sylvestre 1969, six travailleurs africains mouraient asphyxiés dans un taudis surpeuplé loué par un marchand de sommeil à Saint-Denis. C’est pour leur rendre hommage que Marcel Trillat et Frédéric Variot réalisent un film sur la condition des travailleurs étrangers. Un film marginal, sur un peuple en marge de la société française : Portugais fuyant le fascisme et la misère, Algériens, Africains contraints aux travaux les plus durs et à s’entasser dans les bidonvilles, les cités de transit, les foyers indignes ou les caves de Seine-Saint-Denis. Des prolétaires fantômes pourtant indispensables à l’économie française.

19h Accueil apéritif – 19h30 Projection – 20h30 Débat suivi d’une collation bio-végétarienne
Libre participation aux frais pour la soirée

Où ?
Maison de la Citoyenneté 25 rue J.-J. Rousseau 94200 IVRY
M° Mairie d’Ivry – RER C Ivry-s/Seine – Bus 325, 125, 180, 323 – Vélib : Quais d’Ivry

Contact : 06 84 34 47 08 – assocric@gmail.com

Pour la Planète ! : Vidéo Citoyenne à Belleville Amandiers – Nuit Blanche à Belleville – Samedi 3 Octobre

Vous êtes également chaleureusement invité-e-s à participer à l’ouverture à 19h de l’événement organisé par l’association Canal Marches et son Université populaire audiovisuelle :

“Aux Caméras, citoyennes et citoyens !” Exposition – Installation vidéo de rue. Projections continues de films réalisés par des associations de quartiers populaires

De 19h à minuit trente, Samedi 3 octobre, dans et devant La Maison du Bas-Belleville.

à 19 h : Ouverture avec la projection d’une vidéo réalisée avec La Maison du Bas Belleville

Le Programme : https://canalmarches.org/spip.php?article1630

Un partenariat Canal Marches / Centre social La Maison du Bas-Belleville – Un événement Nuit Blanche 2015 / Off hors parcours:

http://quefaire.paris.fr/fiche/120260_canal_marches_et_sylvia_aubertin_adeline_gonin_peggy_hartmann_patrice_spadoni-

Le Projet Vidéo Citoyenne à Belleville Amandiers est soutenu par la ville de Paris et la Préfecture de Paris
Le projet Upopa est soutenu par la Région Île-de-France et la ville de Paris

Soutenez « Le rêve perdu des Hommes du fleuve » avec un financement solidaire

Pour me soutenir et m’aider dans cette démarche participative, c’est simple :

  • Tu vas sur ce lien pour découvrir mon projet –>
  • [touscoprod.com/fr/lereveperdudeshommesdufleuve->]
  • Tu cliques sur « PRODUIRE CE PROJET »
  • Tu indiques un montant en échange d’une contrepartie de ton choix
  • Enfin, tu inscris ton nom + adresse mail pour que je puisse te contacter par la suite (l’inscription sur le site est gratuite et sécurisée)

Il s’agit d’un financement solidaire donc à titre de don tu pourras en échange choisir parmi un éventail, une contrepartie originale et personnalisée que tu obtiendras à la fin de ma campagne.

J’ai financé le voyage, le tournage et une partie du montage avec mes fonds propres. Mais la bourse n’était pas très épaisse : elle est maintenant vide…
Il reste cependant beaucoup d’opérations à mener pour finaliser ce film : fin du montage, mixage, étalonnage, droits divers.

Soutenir ce projet, c’est militer pour une plus grande visibilité des minorités indigènes et de leurs revendications, c’est affirmer la vitalité de la ré-appropriation des langues et des cultures ancestrales, c’est défendre l’alternative écologique de l’utilisation des ressources.
Et surtout, je le souhaite, c’est soutenir un beau projet de cinéma.

La règle du tout ou rien prime ! Si je réussis à atteindre mon objectif je pourrai réaliser le montage, l’étalonnage, le mixage, la post production et la distribution.

Si j’échoue, toutes les participations seront annulées et tout le monde sera remboursé au centime près.

N’hésitez pas à nous écrire à l’adresse suivante :
documentaire.reveperdu@gmail.com
Nous nous ferons un plaisir de vous répondre !

Un grand merci à toi ! La lucha sigue !

L’UPOPA à la Nuit Blanche OFF à Belleville

Au programme :

19h Projection « Vidéo citoyenne à Belleville »

20h – 21h30 Cabine de expression libre – Thème proposé : Pour la planète !

Venez témoigner devant la caméra de Canal Marches, avec en perspective la COP 21 !

Les témoignages seront projetés sur la façade de la Maison du Bas Belleville à partir de 23H

Où ?
Dans et devant la Maison du Bas Belleville, 126 Bd de Belleville, près du Métro Belleville

Quand?
Samedi 3 octobre de 19h à 0h30

Un événement Nuit Blanche 2015 / Off hors parcours : http://quefaire.paris.fr/fiche/120260_canal_marches_et_sylvia_aubertin_adeline_gonin_peggy_hartmann_patrice_spadoni–

DOSSIER DE PRESSE :
presse-upopa-canalmarches-nuitblanche2015.pdf

Exposition vidéo itinérante organisée par l’Université populaire audiovisuelle (Upopa) de Canal Marches

Étapes à Mantes-la-ville, Cergy, Ivry, Montreuil, Paris Belleville et à Choisy-le-Roi le 6 novembre.

Un partenariat Canal Marches – Centre Social La Maison du Bas Belleville

Avec le soutien de la Région Île-de-France et de la ville de Paris.

Sortie du livre  » En marche contre le chômage et la précarité. 1994-2014 : Vingt ans après « 

EN MARCHE CONTRE LE CHÔMAGE ET LA PRÉCARITÉ

1994-2014 : Vingt ans après

« Qui sème la misère, récolte la colère… »

Il y a vingt ans, les Marches contre le chômage, la précarité et les exclusions sillonnaient toute la France. Chômeurs, chômeuses, précaires, sans domicile et salarié-e-s se retrouvaient ensemble dans une action unitaire qui rassemblait la plupart des associations de lutte contre le chômage et de nombreux syndicalistes : les Marches d’Agir ensemble contre le chômage !

Exigence d’un droit au revenu et d’une réduction du temps de travail à 32 heures sans perte de salaire, transports gratuits, unité entre les salariés et les chômeurs, occupations d’ANPE, réquisitions de richesses, Marches européennes contre le chômage… Des formes de lutte, de revendications, des perspectives nouvelles ont alors émergé, qui restent toujours d’actualité.

Une journée de témoignages et de réflexion s’est tenue le 13 décembre 2014, au sujet de cette aventure humaine qui ouvrait un cycle de luttes où chômeuses, chômeurs et précaires se sont affirmé-e-s au côté des salarié-e-s, comme les actrices et les acteurs de leur émancipation.

Pour éradiquer la misère, pour abolir le chômage, il est urgent d’inventer des perspectives novatrices ! Pour les 20 ans des Marches d’AC ! il ne s’agit pas de souffler des bougies, mais d’allumer des flambeaux !

« Autopsie d’une cité – Les Potagers à Nanterre »

Autopsie d’une cité – Les Potagers à Nanterre en ligne sur https: //www.youtube.com/watch?v=DROCFVcfwz4

Un film de l’agence IM’média – 19 min.46″ – 1987

Mars 1987. Les Potagers, cité de transit à Nanterre construite au début des années 60, gérée par la Logirep puis par la Sonacotra (aujourd’hui Adoma), a été requalifiée « résidence », et les habitants obtiendront le statut de locataires. Mais sur les 60 familles qui y habitent, 40 ont déclenché une grève des charges depuis 3 ans puis une grève des loyers pour dénoncer l’absence d’entretien, les problèmes de chauffage et la suppression des aires de jeu pour enfants. Sans oublier le renfermement de la cité : coincée entre l’autoroute et l’hospice des indigents et des vieux (aujourd’hui Centre d’accueil et de soins hospitaliers (CASH), la cité est entourée d’un mur la séparant de pavillons habités par des gens qui se plaignent sur le mode « moi je ne sais plus où je suis chez moi ». Pas de dialogue possible, affirment-ils, tandis que des bergers allemands aboient…

Des jeunes ont pris la relève des anciens, monté une association avec comme objectif prioritaire le relogement décent des familles qui le veulent, sur le lieu de leur choix, la rénovation de la cité pour celles qui entendent rester et l’embauche des jeunes sur le chantier. Ils reçoivent des jeunes d’autres cités, dans l’esprit du Comité de coordination des cités de transit lancé en 1982 par les ami-e-s d’Abdennbi Guémiah à la cité Gutenberg (Nanterre). Ils organisent la Fête des cités dans un gymnase désaffecté jouxtant les Potagers, avec au programme la très populaire chanteuse de raï Cheikha Rimiti, un gala avec Djamel Mehadji, champion de France de boxe thaï issu de la cité etc.

Belkacem Lahbaïri, alias Baba, ancien de la troupe de théâtre Week-end à Nanterre et président de l’association, trouve encore du temps pour se consacrer à Coco Bonbon, un spectacle pour enfants, ou encore pour participer avec son frère Habib aux mobilisations étudiantes, notamment après la mort de Malik Oussekine et d’Abdel Benyahia. Il faut dire que la cité est proche de la fac Paris X, construite à proximité de l’emplacement des bidonvilles dont sont issus les habitants de la cité…

Contact : agence.immedia@free.fr
Le 21 sept. 2015 à 16:37, Canal Marches a écrit :

Contact : agence.immedia@free.fr

Cinécroque Attac Paris 11 : « LA GUERRE DES GRAINES »

« LA GUERRE DES GRAINES »
Un film de Stenka Quillet et Clément Montfort
France / 1 heure 08

En Europe, une loi censée contrôler l’utilisation des semences agricoles devrait bientôt voir le jour. Derrière cette initiative, qui empêchera les agriculteurs de replanter leurs propres graines, se cachent cinq grands semenciers qui possèdent déjà la moitié du marché. Direction la France, où des paysans cherchent une alternative aux graines issues de l’industrie, puis les couloirs du Parlement à Bruxelles, où se joue un épisode déterminant de la législation. En Inde, Vandana Shiva, scientifique militante, est devenue la bête noire de la multinationale Monsanto. Au Spitzberg, près du cercle polaire, une chambre forte a été creusée dans la glace pour préserver des graines issues du monde entier, en cas de catastrophe écologique.

L’histoire révélée dans ce documentaire, c’est celle d’une guerre silencieuse, méconnue et dont l’enjeu est pourtant crucial : notre indépendance alimentaire.
La projection sera suivie d’un débat. Comme d’habitude, l’entrée est gratuite et la soirée se terminera par un repas partagé garni par tous les participants.

Cinécroque attac Paris 11
Maison des métallos
94, rue Jean-Pierre Timbaud
(Métro Couronnes ou Parmentier, Bus 96 ou 46)
Mardi 22 septembre 2015 à 19H30

Projection Ciné Attac : « The Lab »

Un jeune réalisateur israélien, très préoccupé par la croissance démesurée du complexe militaro-industriel israélien et de son influence sur les différents aspects de la politique de son pays, a décidé d’y consacrer un film-reportage. Faisant preuve d’un culot extraordinaire pour un sujet aussi « sensible », il dévoile par des entretiens étonnants, souvent inattendus, des acteurs de cette industrie de mort, la réalité concrète de leurs activités à travers le monde, en particulier en Amérique latine. Un document rare qui permet de comprendre la gravité de la politique internationale du pouvoir israélien.

Prix de la séance : 7 euros sur présentation du tract (pièce jointe)

Demosphere : http://paris.demosphere.eu/rv/41329
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