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PAROLES DE FEMMES

En amont et à l’occasion de la Journée Internationale des Droits des Femmes, l’association Canal Marches sera présente sur deux lieux différents…

A BELLEVILLE

à l’occasion des deux journées du Forum Femmes en Action(s) le 6 et 7 mars 2015, au Centre des Amandiers, 110 rue des Amandiers, métro Ménilmontant.

Tout au long de ces deux journées, des ateliers, débats et projections seront proposés. Canal marches sera présente sur la totalité de l’événement avec des écrans qui montreront des vidéos liées à la thématique de l’expression des femmes, de l’égalité, avec un moment fort le samedi 7 mars:

De 14h30 à16h30 retours d’expériences de collectifs de Femmes du quartier, des Marches exploratoires, et d’une cabine vidéo de libre expression de groupes d’habitant-e-s réalisée avec Canal Marches, animé par Archipelia, Quartiers du Monde, Relais de Ménilmontant et l’ACB.

Le programme est en PJ !

A CERGY

sur le parvis de la Préfecture en partenariat avec l’Association Du coté des femmes le samedi 7 mars, de 14h à 18h, puis à partir de 19H pour le vernissage de l’expo itinérante dans les locaux de Du coté des femmes, au 21, avenue des Genottes, RER Cergy Saint-Christophe.

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Au programme :

Exposition vidéo et photo

– A partir de 19H, vernissage de l’exposition photo « Les femmes et la ville », présentation du court-métrage « Où est ma place?  » et de l’exposition vidéo dans les locaux de Du Coté Des Femmes.

L’expo sera en place jusqu’au 26 mars, vernissage et visites sur inscription au
01 30 73 51 52.

Le contenu :

Un groupe de femmes a participé à la réalisation d’un court-métrage vidéo, tandis qu’une « cabine vidéo d’expression libre » donnait la paroles aux habitant-e-s de Cergy. Pendant ce temps, au siège de l’association de Sarcelles, un groupe de femmes participait à un atelier photographique : l’exposition itinérante montrera les travaux réalisés dans le cadre de ces ateliers.

Ce projet est soutenu par la Ville de Paris et la Région Île-de-France

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Un projet de documentaire d’urgence : « Même pas peur »

RESUME

A travers différents intervenants, connus ou non, acteurs de la société civile ou simples citoyens, « MÊME PAS PEUR ! » est un long-métrage documentaire qui va présenter au fil des prochains mois les transformations sociales ainsi qu’apporter des réponses sous un angle différent de celui abordé dans les médias classiques et des questionnements récurrents qui se posent et vont se poser.

La peur est une réaction viscérale difficilement contrôlable. Avoir des éléments clairs de soutien et de compréhension entraîne un débat sain afin de mieux vivre ensemble. Il est donc primordial que ce film documentaire apporte de manière rapide et réactive des éléments de réflexion permettant ainsi d’avancer dans notre construction commune.

Le film se construit en marchant, c’est-à-dire qu’il prend en compte tous les éléments qui peuvent survenir dans les mois suivants. Son fil conducteur est la réponse aux deux principales peurs actuelles : la peur de la crise qui impacte notre pays et la peur de l’autre qui risque, si elle nous submerge, de nous retrouver dans un pays désuni.
Ces deux peurs sont intimement liées. La précarité favorise l’exclusion. L’autre devient le responsable de la crise.

Au delà d’un film d’urgence, « MÊME PAS PEUR ! » est un documentaire pérenne qui va au fond des choses. Beaucoup de peurs abordées étaient sous-jacentes avant la dramatique mise en lumière occasionnée par les événements tragiques de janvier. Le film ne parle pas de ces événements en eux-mêmes mais de leurs conséquences ainsi que des réponses possibles à y apporter. La crise économique actuelle que nous vivons risque de nous entraîner encore plus dans des clivages d’où il sera compliqué de sortir.

« MÊME PAS PEUR ! » n’est pas un film sur les peurs mais une réponse à ces peurs.

www.memepaspeur-film.com

Projection-rencontre : Damas do Samba | Jeudi 12 février à 20h | Cinéma La Clef

Damas do samba

de Susanna Lira
Brésil, 2013, 75′, VOST Fr

Un regard singulier sur le rôle des femmes dans la samba.
Damas do samba
révèle à quel point la participation des femmes est centrale dans la construction de ce rythme brésilien incontournable, réel instrument de résistance socio-culturelle.

La projection sera suivie d’une rencontre avec André Abreu, musicien, militant, écologiste.

Pour en savoir plus, rendez-vous sur www.autresbresils.net

Tarifs :
6,50 euros
4,50 euros pour les adhérents Autres Brésils
(Soutenez Autres Brésils ! Possibilité d’adhérer sur place pour 20 euros + un livre des Gardiens de l’Amazonie offert)

Cinéma La Clef
34 rue Daubenton – 75005 Paris
Tél : 09 53 48 30 54
reservation@cinemalaclef.fr

« Traversée à haut risque à bord du TAFTA »

Une pièce écrite et jouée par des militants et sympathisants d’ Attac.

Spectacle suivi d’un échange avec les acteurs-militants

Une soirée proposée par Attac, le CRIC et Ne pas Plier

à la Maison de la Citoyenneté
25 rue Jean-Jacques Rousseau

94200 Ivry-sur-Seine

Contact : 06 84 34 47 08

19h30 : accueil apéro
20h : spectacle
21 : collation bio-végétarienne

Entrée libre
Libre participation aux frais de la soirée

Projection de courts-métrages autour du thème »Décalé(s) »

Cette projection s’inscrit dans le cadre des ateliers d’éducation à l’image que j’anime auprès des jeunes pris en charge par la Protection Judiciaire de la Jeunesse. Le principe de l’atelier est simple : regarder, débattre et choisir ensemble des films. Les 10 participants de l’atelier vous présenteront un programme de courts-métrages de leur choix autour du thème décalé(s) :

« Pour exister, toute société s’entend sur la définition de normes et de valeurs orientant les conduites, les habitudes, les imaginaires. Adopter une posture « décalée » serait ainsi une belle manière d’ouvrir de nouveaux possibles. Que se soit à travers la poésie, l’ironie, ou le détournement situationniste, les armes à notre disposition pour résister au réel sont légion. Faire un pas de côté parfois suffit pour envisager autrement certaines idées prétendument immuables ».

(Extrait du texte de présentation du programme de courts-métrages « Des cinés, la vie, 2015 »)

« La petite dette qui monte qui monte » à la Maison des Métallos

Partant des idées véhiculées par les médias, intégrant un « quizz citoyen », le film donne un droit de réponse à des voix hétérodoxes : économistes, mais également artistes, sociologues, historiens, philosophes. Face à l’absurdité de la situation, il n’y aurait pas d’analyse sérieuse possible … sans rire. En réunissant « tout ce que chacun a toujours voulu savoir sur la dette sans jamais oser le demander », l’objectif est d’offrir à un large public, grâce à des intervenants de choix, des arguments pour entrer dans un débat trop souvent réservé aux spécialistes.
A l’heure où la « crise de la dette » est brandie un peu partout comme alibi à la destruction de notre modèle social, ce film est conçu comme un moyen d’auto-défense intellectuelle.
La projection sera suivie d’un débat en présence de la réalisatrice et de Patrick Saurin, porte-parole de Sud BPCE (Caisse d’épargne), membre du CADTM et du Collectif d’audit citoyen. Comme d’habitude l’entrée est gratuite et la soirée se terminera par un repas partagé garni par tous les participants.

La BCE met déjà la pression sur la Grèce

L’institution de Francfort a levé l’éligibilité des obligations d’Etat grecques comme collatéraux pour les opérations normales de refinancement dans la zone euro. Ceci signifie que, pour venir retirer des liquidités auprès de la BCE, les banques ne pourront plus donner comme garanties les titres grecs.

Cette décision lève en fait une exception qui avait été accordée à la Grèce sous la condition qu’elle suive le programme de la troïka. Normalement, la BCE n’accepte que les obligations d’Etat notées dans la catégorie « d’investissement » par les agences, ce qui n’est pas le cas des titres helléniques. Elle avait accepté des dérogations pour les pays « sous programme » en considérant que ces pays étaient sur la voie du retour à une meilleure notation. D’où cette condition du programme.

Athènes ayant refusé de collaborer avec la troïka, la BCE – considérant de son propre chef qu’il n’y a pas de perspectives que le programme soit poursuivi – suspend l’exception. Le Conseil des gouverneurs n’aura donc pas attendu que les négociations s’engagent réellement entre Athènes et ses créanciers. La BCE est, du reste, allée à la limite de son mandat en suspendant cette exception sur la simple « présomption » qu’un accord ne pouvait être trouvé.

C’est quoi le féminisme ouvrier ?

A partir de 19h au Cinéma l’Ecran

Place du Caquet, 93200 Saint-Denis
M°13 ou T1 Basilique de Saint-Denis

Programme :

à 19h00

QUAND LES FEMMES ONT PRIS LA COLERE
de Soazig Chappedelaine et René Vautier
1977 / 75′ / couleur / numérique
En 1975, à Couëron, en Loire-Atlantique, des femmes envahissent le bureau du patron de leurs maris, ouvriers en grève d’une usine métallurgique, et obtiennent en deux heures ce qu’on leur refusait depuis des mois. Mais la direction porte plainte. Douze d’entre elles seront inculpées pour séquestration.

à 21h00
LES MATINALES de Jacques Krier
1976 / 46′ / noir et blanc / BetaNum
Quatre tableaux composent ce reportage sur le travail de ces femmes qui au petit matin prennent le métro pour venir nettoyer bureaux, cafés, magasins ou l’Opéra de Paris. Elles sont mal payées, souvent âgées, fatiguées et oubliées.

C’EST QUOI LE FEMINISME OUVRIER ?
Rencontre accompagnée de nombreux extraits de films avec Fanny Gallot (maîtresse de conférence en histoire contemporaine), Muguette Jacquant (ancienne OS et ancienne députée de La Courneuve-Aubervilliers) et Ghislaine Tormos (ouvrière de PSA-Aulnay), animée par Tangui Perron.

Plus d’infos sur le festival : www.dionysiennes.org