Archives de catégorie : On vous conseille

« CAES, la fin d’un squat » sur Télé Bocal

Télé Bocal est accessible à tous depuis les chaînes suivantes :
SFR canal 337
NUMERICABLE canal 94
Bbox canal 401
Free canal 345
Bbox 24h/24 canal 403
SFR 24h24 canal 347
TNT Ile-de-France canal 31 (Attention : diffusion à 23h20)

Synopsis
À Ris-Orangis (91), le Centre Autonome d’Expérimentation Sociale (CAES) est le plus vieux squat d’Europe. Il vit ses derniers jours. Les bulldozers ont commencé à détruire les bâtiments. Sous la pression d’un promoteur immobilier, tous les artistes (peintres, sculpteurs, musiciens, plasticien, etc.) doivent mettre trois décennies de leur vie de squatteur dans des cartons..

La Maison du Bas Belleville contre les discriminations et pour l’égalité

Dans le cadre de la semaine de l’intégration,
La Maison du Bas Belleville
vous propose :
Une soirée débat sur les discriminations et l’égalité
Mercredi 11 Mai à 18h00

Venez participer, vous exprimer et échanger lors de notre soirée débat autour des discriminations et de l’égalité ! Cette soirée sera animée par Mounia Zahir du CIDFF (Centre d’Informations du Droit des Femmes et des Familles) et débutera par la projection d’un film court.

L’accueil se fera à partir de 17h30 au centre de la Maison du Bas-Belleville,
le débat se déroulera de 18h à 19h30.

Un vernissage des expositions – Apéritif convivial
Vendredi 13 Mai à 17h30

Venez passer un beau moment de convivialité et de partage lors du vernissage et de l’apéritif convivial du vendredi 13 Mai !

Nous ouvrirons nos portes à 17h30 pour vous faire profiter de l’exposition des œuvres réalisées par les participant-e-s des ateliers des différents secteurs du centre : l’exposition photographique « Andy Warhol » réalisée par les jeunes du centre de loisirs, une exposition d’illustrations sur le thème de la migration réalisées par les participant-e-s des ateliers sociolinguistiques, ainsi que les œuvres réalisées par les familles du centre, dans le cadre d’une médiation culturelle et d’un partenariat avec Mémoire de l’Avenir.
Nous vous proposerons également la projection du film court « Vivre à Belleville » de Canal Marches ainsi que « Jardin sur le toit », court métrage réalisé par les jeunes participant-e-s à l’atelier Pom + en partenariat avec La Case et Echo’via !

Fermeture du Chêne, à Villejuif: réagissons !

Moi, oui. J’y ai croisé des personnes de tout âge, de tout milieu, de toutes générations. Dont cette dame de 89 ans, veuve, heureuse de venir écouter du Gainsbourg ou du Brassens, les yeux pétillants des petits moments de bonheur qu’elle y trouve. Cet homme, curieux, qui aurait aimé apprendre à forger, cet autre féru de peinture…….. C’est un milieu ouvert, festif, inter générationnel, un melting pot de vies…. Et vous voulez le fermer ?
Cet endroit est précieux pour votre ville, c’est une richesse culturelle !
Oubliez votre statut de maire, les financiers qui cherchent des terrains, l’être humain que vous êtes ne peut pas être insensible…..
Nous vivons dans un monde qui marche sur la tête. Ce lieu nous rattache à des valeurs !
C’est un lieu magique.
Alors, s’il vous plaît, laissez les gens qui s’y investissent pour donner du bonheur et rétablir ce qui manque le plus à cette société : l’échange entre toutes générations, y rester encore longtemps.
Pensez avec votre cœur,
Bien à vous

Afin que cette lettre lui parvienne, merci de partager un maximum, c’est important. Il existe des lieux qu’il faut garder vivant. Le chêne en est un ! Et merci à ceux qui le font vivre.

Corinne Dedieu

Voir le teaser de la pétition : https://youtu.be/IyGy9nlZQ6M

Et la pétition qui va avec :
https://www.change.org/p/fermeture-du-ch%C3%AAne-%C3%A0-villejuif-r%C3%A9agissons

Documentaristes debout!

Première partie :
ciné-tracts
réalisés autour de la Nuit debout, du mouvement social et des actions du DAL (Droit au logement).

Deuxième partie :
« DIEGO »
un film de Frédéric Goldbronn (1999, 40 minutes)

« Comment, du fond d’un bar de Barcelone, un vieil homme, qui n’a renoncé à rien, fait revivre la seule révolution prolétarienne occidentale, celle de juillet 1936, celle que saluera plus tard l’écrivain Georges Orwell dans son Hommage à la Catalogne ».
Edouard Waintrop, Libération 26/02/2000

Programme :
soiredocdebout6mai.pdf

Banquet pour défendre La Parole Errante

Sans aucun égard pour les usagers permanents du lieu : un café librairie, une coopérative de films documentaires, des ateliers de théâtre, de sérigraphie, de gravure. Sans aucun égard pour toutes les réalités qui bénéficient de ce lieu jour après jour, mois après mois, années après années. Sans aucun égard pour tous ceux qui en auront besoin à l’avenir en dehors de toute logique de rentabilité ou de reconnaissance, mais simplement parce qu’ils en ont besoin et que partout les lieux manquent.

Ce lieu est voué a être normalisé, mis au pas. Plus question d’entrée libre, d’expériences musicales, théâtrales, cinématographiques hors normes, de concert de solidarité, de fête de quartier, de fête syndicale, d’assemblée en lutte contre la réforme de la psychiatrie, contre les violences policières, contre la réforme du code du travail, etc.

Ce mépris des politiques à l’égard de nos besoins, de nos aspirations, de nos lieux, de nos vies, de nos luttes, nous le connaissons tous. Et nous sommes plus en plus nombreux à le dire dans la rue, sur les lieux de travail, dans et hors des institutions : cela suffit !
Nous avons besoin de lieux pour habiter le monde.

Si la Parole errante ferme, le lieu se transformera en un lieu culturel normalisé et inféodé, et c’est la ville qui continuera de se transformer dans le sens d’une dépossession…

Lutter pour La Parole errante, c’est lutter pour le territoire où nous vivons, pour ne pas perdre pied ou reprendre pied, sentir un sol commun, une possibilité de se retrouver, de résister, de lutter, d’exister.

La journée commencera à 13h, et dans l’après-midi sont prévues des prises de paroles, des projections pour enfants, des ateliers (sérigraphie, constructions), des récits sur la Parole Errante, des courts spectacles de théâtre, une chorale, le banquet à 20h sera suivi de concerts de fanfares!

“Égalité, mon œil !” : une exposition d’affiches féministes

Collectif de préparation : Valérie Debure, Isabelle Jego, Alex Jordan, Laurent Klajnbaum, Guillaume Lanneau, André Lejarre, Sébastien Marchal et Vanessa Verillon.

Événement associé à la La Fête du graphisme 2016.

Affiche d’Elsa Maillot.

Avec les oeuvres, entre autres, de l’Atelier de création graphique, Claude Baillargeon, Jan Bajtlik, Trix Barmettler, Laurence Barrey, Maïc Batmane, Michal Batory, Hélène Bernardat, Michel Bouvet, Eddy Brière, Roman Cieslewicz, Pascal Colrat, Yv Corbeil, Delluc, DEFMA, Dugudus, Stéphane Dupont, El Fantasma de Heredia, Anke Feuchtenberger, Laurianne Folinais, Formes vives, Förm, Sarah Fouquet, Vanina Gallo, Marie Gandois, Mariana Garcia, Christophe Gaudard, Les Graphistes associés, Grapus, Guerrilla girls, Pop Ilke, Eva Kretschmer, Iga Kucharska, Marion Kueny, Anne-Marie Latrémolière , Anette Lenz, Alain Le Quernec, Lilith’s Revolution, Sebastian Lörscher, Luba Lukova, Alejandro Magallanes, Elsa Maillot, Sébastien Marchal, Pierre Mendell, François Miehe, Silke Muller, Emanuela Not, Nous Travaillons Ensemble, Annick Orliange, Ouf atelier, Muriel Paris, Gérard Paris-Clavel, Anne Preiss, Michel Quarez, Carolina Rojas, Mowana Sabeh, Thierry Sarfis, Teresa Sdralevich, See Red Women’s Workshop, Klaus Staeck, Yoly Petra Stroeve, Jana Traboulsi, Un Mundo Feliz, Vanessa Vérillon et de l’association Artemisia pour la promotion de la bande dessinée féminine avec des planches originales et le « Métro au féminin » de Sylvia Radelli, illustré par Chantal Montellier.

Festival de films documentaires Veillée d’Armes 2, à Confluences

LE PROGRAMME :
mar. 19 jan. à 20h30
L’image manquante
Réal. : Rithy Panh
2015, 1h32
[P.A.F. 5 €]
Rithy Panh raconte son enfance au Cambodge marquée par les atrocités commises par les Khmers rouges entre 1975 et 1979. Pour donner corps à ses souvenirs, le cinéaste recoure à des figurines en terre cuite, à l’effigie de gens qu’il a connus, de parents et d’amis aujourd’hui disparus. Il reconstitue des scènes qu’il associe à des images d’archives.

scénario Rithy Panh d’après L’Élimination de Rithy Panh et Christophe Bataille /
effets spéciaux : Narin Saobora /
sculptures : Sarith Mang /
montage : Marie-Christine Rougerie et Rithy Panh /
musique : Marc Marder et Rithy Panh /
image : Prum Mésar /
son : Eric Tisserand /
production, distribution : Catherine Dussart Production, Bophana Production

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mer. 20 jan. à 20h30
The look of silence
Réal. : Joshua Oppenheimer
2015, 1h45
[P.A.F. 5 €]

Après The Act of Killing, Joshua Oppenheimer continue d’explorer la question du génocide indonésien. Adi Rukun est un ophtalmologue itinérant. Au gré de ses visites, il enquête sur les circonstances de la mort de son frère aîné, accusé de « communisme » et assassiné pendant les grands massacres de 1965 et 1966 en Indonésie, et se confronte aux tortionnaires.

image : Lars Skree /
montage : Niels Pagh Andersen /
production : Signe Byrge Sørensen, Werner Herzog, Errol Morris, Andre Singe / société de production : Final Cut for Real

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jeu. 21 jan. à 21h00
Ceuta, douce prison
Réal : Jonathan Millet et Loïc H. Rechi
2013, 1h29
[P.A.F. 5 €]
En présence de Jonathan Millet

Ceuta, douce Prison suit les trajectoires de cinq migrants dans l’enclave espagnole de Ceuta, au nord du Maroc. Ils ont tout quitté pour tenter leur chance en Europe et se retrouvent enfermés dans une prison à ciel ouvert, aux portes du vieux continent. Ils vivent partagés entre l’espoir d’obtenir un « laissez-passer » et la crainte d’être expulsés vers leur pays.

image : Jonathan Millet /
son : Loïc H. Rechi, Mikael Kandelman /
musique : Wissam Hojeij /
montage : Matthieu Augustin, Afsaneh Salari /
étalonnage : Steven Le Guellec /
production : Yves Billon /
société de production : Zaradoc

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ven. 22 jan. à 20h30
Les chebabs de Yarmouk
Réal. : Axel Salvatori-Sinz
2015, 1h18
[P.A.F. 5 €]

Les chebabs de Yarmouk sont une bande de copains dans le plus grand camp de réfugiés palestiniens du Moyen-Orient, créé en Syrie en 1957. Troisième génération d’exilés, ils ne rêvent plus de retour en Palestine, leurs désirs se heurtent aux murs du camp. Quand la révolution syrienne éclate en mars 2013, leur camp est en grande partie détruit. Le film témoigne de leurs derniers moments partagés à Yarmouk.

image et son : Axel Salvatori-Sinz /
montage : Aurélie Jourdan /
musique originale : Reem Kelani, Stormtrap /
production délégée : Adalios – Magali Chirouze /
coproduction : Taswir Films, Maritima TV, 2M /
avec la participation du CNC, le soutien de la Région Rhône-Alpes, du Département Ardèche, de la SCAM, de la Mairie de Paris et du Ministère de la Jeunesse

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sam. 23 jan. à 18h00
My land
Réal. : Nabil Ayouch
2012, 1h22
[P.A.F. 5 €]
En présence de Nabil Ayouch

My land donne la parole à de vieux réfugiés palestiniens qui ont fui en 1948 et qui vivent depuis plus de 60 ans dans des camps au Liban, sans être jamais retournés sur leur terre. Leur parole est entendue par de jeunes Israéliens de 20 ans, viscéralement attachés à leur pays. Un dialogue à distance qui remet en perspective le conflit.
production : les Films du nouveau monde, Ali n’Productions, French Connection Films

Pour plus d’infos : http://www.confluences.net/
Adresse : Confluences 190 Boulevard De Charonne, Paris 75020

Cinécroque d’Attac/ Notre Dame-des Landes, quand Vinci veut faire la loi : « Le nouveau Continent », un film de Vincent Lapize

Tourné entre le printemps 2012 et le printemps 2014, Le Dernier Continent propose un regard subjectif sur l’expérience politique vécue par les opposants au projet de l’Aéroport Grand-Ouest sur la ZAD de Notre-Dame-des-Landes.
La ZAD, c’est 2000 hectares de forêts et de prairies appelés « Zone à Défendre » par ceux qui y vivent et « Zone d’Aménagement Différé » par l’État et les promoteurs. Plusieurs centaines de personnes y partagent un quotidien et luttent ensemble « contre l’aéroport et son monde ».
Ils sont d’anciens habitants, des paysans, des sympathisants, des constructeurs, des combattants et des activistes. Ensemble, ils inventent des modes d’organisation collectifs et horizontaux pour dépasser la simple opposition au projet d’aéroport et mettre en place des modes de vie en cohérence avec leurs valeurs. Au travers des réussites et des impasses, l’expérience politique se réinvente chaque jour. Les militants transforment ainsi la ZAD par leur pratique de l’utopie, et la ZAD les transforme en retour.

Pour aborder les questions complexes qui touchent au projet contesté d’aéroport et revenir notamment sur ses dimensions économique, environnementale, juridique et sociétale, nous aurons le plaisir de compter sur la présence de Gilles Sabatier, membre de la Commission Écologie et Société d’Attac.

Maison des métallos
94, rue Jean-Pierre Timbaud
(Métro Couronnes ou Parmentier, Bus 96 ou 46)

Culture XXI présente…la Fabrique Des Initiatives Citoyennes !

L’idée d’organiser les Fabriques des Initiatives Citoyennes provient du constat que chaque association est un véritable atelier de fabrication de méthodes et d’outils pour mobiliser les habitants. Que nous sommes tous des petites fabriques du Vivre Ensemble sur nos territoires.
Grâce à notre identité de réseau et travaillant sur plusieurs territoires et avec une grande diversité de partenaires, nous nous rendons compte de l’importance de la mutualisation de nos méthodes pour la richesse de nos initiatives sur nos territoires et pour l’ouverture de nos esprits sur d’autres ‘possibles’ au-delà des frontières de nos quartiers et des limites de nos territoires.

Cette journée de rencontre, de mutualisation est une première pierre dédiée à ce cheminement que nous allons élaborer collectivement le Samedi 23 janvier.

Farid Zeroulou de l’association Canal Marches interviendra lors de l’atelier Image-reportage sur « Comment donner la parole aux habitants et valoriser leur créativité entre autres par l’outil vidéo ».

Si vous êtes intéressés, merci de nous écrire à cette adresse afin de vous inscrire :
ficculture21@gmail.com

Le programme de la journée se trouve en PJ.

Festival Bobines Sociales 2016 !

Festival Bobines sociales, 13ème édition : Une semaine de films et de débats

La vie…

La donner ou pas quand on est un homme

La vie mesurée, surveillée sous toutes les coutures de l’individu

La vie passée au travail

Bafouée en prison

Transformée par l’exil

Entrer en lutte pour la changer !

Combien ça coûte ?
Les 24, 25, 26, 27, 28, 29 janvier, le festival « hors les murs » : entrée libre
Les 30 et 31 janvier, le festival « week-end à La Bellevilloise » :
1 séance : 5 €
1 journée : 10 €
2 jours, le Pass : 16 €

SUR PLACE, À LA BELLEVILLOISE, BOISSONS ET RESTAURATION À PRIX BOBINES
Notre site : http://www.bobines-sociales.org/

Notre page Facebook : https://www.facebook.com/Festival-Bobines-sociales-663990660278773/

Programmation en PJ

N’hésitez pas à diffuser l’information autour de vous !